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Un an et demi après mon premier séjour en Zambie, à Lusaka, j’y retourne en cette fin d’année 2024.
Avant d’arriver à Lusaka, il y a toujours un passage obligé par Johannesbourg, à 2 heures d’avion plus au sud. Il faut ensuite prendre un autre avion pour remonter vers le nord. Cet avion est un petit Canadair, heureusement il n’est pas rempli d’eau !
A l’embarquement à Johannesbourg.
On débarque à Lusaka, toujours directement sur la piste.
Après plusieurs jours de galère pour trouver le matériel informatique, on a réussi à se brancher à une prise électrique fonctionnelle (moyennant une très longue rallonge), et même à trouver une connexion internet ! La formation peut commencer. Les gros livres de la bibliothèque trouvent enfin une fonction en servant de support au vidéo-projecteur.
Manger avec nos stagiaires le midi permet de faire connaissance avec eux. On se rend compte qu’on a des préoccupations de privilégiés tandis que nos interlocuteurs peinent à se loger, manger et élever correctement leurs enfants.
L’hôtel Southern Sun Ridgeway, où nous dinons un soir, à une particularité : son bassin intérieur héberge des crocodiles !
Mais aussi de plus inoffensifs papillons Machaon.
Pour terminer la semaine en beauté, nous sommes invités à la soirée « Beaujolais nouveau » à l’Ambassade de France. Il paraît que c’est l’évènement de l’année, où se presse le tout-Lusaka !
Un groupe de musique local anime la soirée, avec un très bon saxophoniste.
La soirée est présidée par l’Ambassadeur de France, le Ministre du Tourisme de Zambie et le vice-président de la Chambre de Commerce franco-Zambienne qui prononcent des discours célébrant l’amitié franco-zambienne.
La soirée se prolonge jusqu’à tard dans la nuit.
C’est l’occasion de savourer un peu de nourriture française, accompagnée de Beaujolais nouveau bien entendu.
Avant de rentrer en France, on s’octroie une demie-journée de safari au Lusaka National Park.
On voit bien sûr beaucoup moins d’animaux qu’au parc Kruger mais on rencontre des rhinocéros, une chance énorme au vu de leur rareté !
Les rhinos étant calmes, on peut s’approcher d’eux à pied.
On observe également des zèbres qui se cachent derrière les arbres.
Au milieu de parc, on visite le centre de secours d’éléphanteaux du Elephant Orphanage Project.
Les éléphanteaux sont très joueurs !
…les bâtiments aux alentours contiennent quelques peintures intéressantes.
Au retour, notre chat apprécie tout particulièrement un des objets acheté au marché artisanal de Kabwata Cultural Village !
Quelle cohue il y avait dans ce marché ! Toutes les vendeuses et tous les vendeurs se précipitaient sur nous ! C’était très compliqué de choisir un vendeur car tous vendent à peu près la même chose mais promettent le meilleur prix (à négocier évidemment) et la meilleure qualité. Nous avons décidé de tout acheter au pavillon des femmes, ce qui a fait des jaloux… Habituellement, je fuis ce genre d’endroit où l’on est sur-sollicité mais la beauté des objets présentés m’a fait faire un effort.