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Lors de ma mission « Sahara » je ne verrai malheureusement pas le désert dont j’étudie les nappes d’eau souterraines profondes, mais seulement les villes de Tunis et d’Alger, parcourues de bureau en bureau entre les responsables de l’hydraulique, de l’environnement et de l’agriculture ; mais aussi Bizerte, Sidi Bou Saïd, Carthage, le lac Ichkeul, La Madrague pendant les trop rares instants dévolus au tourisme.
Je suis hébergé à Tunis, ce qui permet de s’évader rapidement à Sidi Bou Saïd et de replonger dans son ambiance si particulière déjà appréciée en 2004. La mer Méditerranée se laisse apercevoir de temps en temps au détour d’une ruelle :
Les belles maisons blanches à portes et fenêtres bleues sont toujours là :
Avec aussi parfois une porte jaune du plus bel effet !
De Sidi Bou Saïd aux ruines de Carthage, il n’y a qu’un pas :
Le site est paisible et agréable entre végétation, ruines et vue sur la mer Méditerranée
De retour à Tunis, on va à l’ANPE, mais ce n’est pas pour chercher du travail !
En face se trouvent l’avenue Habib Bourguiba, la place du 14 janvier 2011 et l’horloge obélisque. On aperçoit également l’hôtel du lac, avec sa drôle de forme en triangle inversé…
Vue sur Tunis depuis ma chambre :
Un petit séjour en Algérie est également au programme. On est hébergé dans un hôtel où il est impossible de s’approcher en voiture, défenses anti voitures piégées obligent. Brrrr… Mais notre hôte est vraiment charmant, ce qui compense largement. Profitant d’une pause dans le travail, il nous emmène visiter Alger.
Le mémorial du martyr de la guerre d’indépendance (ici on ne dit pas la guerre d’Algérie !)
On peut grimper en haut du mémorial, d’où on a une vue panoramique sur Alger :
En arrivant au centre-ville, on passe par la ville française :
Enfin, notre hôte nous fait découvrir le chanteur Idir, avec la chanson Pourquoi cette pluie, qui a chaque fois que je l’entends me rappelle les bons moments passés en Algérie.
Retour en Tunisie, avec une visite au lac Ishkeul, importante étape sur la route des oiseaux migrateurs
Nous arrivons à Bizerte un dimanche, le jour où le club de foot local (le CA Bizerte) joue la finale de la coupe de Tunisie à Tunis contre l’Espérance de Tunis, le club préféré du président tout-puissant et donc injustement favorisé par les arbitres (mais çà c’est notre hôte algérien qui le dit). Enfin toujours est-il que le CAB va perdre 2-1…
Du coup la ville est déserte, ceux qui ne sont pas au stade à Tunis sont dans les bars devant la télé. Ca ne nous empêche pas de pouvoir apprécier la beauté de la ville à sa juste valeur.
thivi
15 mai 2015 at 13 h 50 min
Ajout de 17 photos pour compléter un peu !
Laury
3 juin 2016 at 15 h 24 min
Splendide j’ai envie d’y aller maintenant ! 🙂